I thought this article might appeal - especially the last bit about your favourite Liberal video queen - and since it is 'locked' on the 'Le Devoir' site, I am posting it in its entirety: Des publicités négatives seraient mises en ondes cet été C'est le calme plat à Ottawa sur le front des attaques partisanes. Les mauvaises performances économiques du Canada forcent les partis politiques à plus de retenue. Mais des publicités négatives pourraient venir modifier le climat politique. Ottawa -- Le feu couve. Les conservateurs songent à lancer des publicités négatives contre Michael Ignatieff dès cet été, afin de préparer le terrain à une possible campagne électorale à l'automne. De l'autre côté, les libéraux semblent utiliser depuis quelques semaines les sites YouTube et Facebook pour diffuser des vidéos qui attaquent les conservateurs.
La remontée rapide du Parti libéral du Canada dans les sondages ouvre la porte à plusieurs scénarios. La plupart des observateurs politiques s'attendent à ce que le pays soit de nouveau en élections d'ici un an. Du côté conservateur, on se prépare. Depuis des mois, on scrute le passé de Michael Ignatieff à la recherche de phrases ou de prises de position embarrassantes.
Les 30 ans de Michael Ignatieff passé à l'extérieur du Canada semblent la cible de choix du PC, qui veut le dépeindre comme un homme déconnecté de la réalité canadienne. Sa manière de dire «nous» en parlant des Américains, alors qu'il enseignait à l'Université Harvard, à Boston, serait aussi utilisée, dit-on.
Ces publicités négatives pourraient commencer à être diffusées à la télévision et à la radio au mois de juin, tout juste avant la fin de la session parlementaire et le début des vacances. Les stratèges conservateurs tablent en effet sur une campagne électorale à l'automne, peu importe quel parti en serait le déclencheur.
L'image d'Ignatieff serait trop lisse actuellement, dit-on, de sorte que Harper doit se battre contre «un chef idéalisé». «Il faut ramener Ignatieff sur terre», dit un conservateur qui a demandé l'anonymat.
Selon le dernier sondage pancanadien Léger Marketing-Le Devoir publié le 30 mars dernier, Michael Ignatieff est perçu comme le meilleur premier ministre par 31 % des 1508 répondants, contre 28 % pour Stephen Harper. De plus, Ignatieff se classe premier dans toutes les catégories économiques, loin devant l'actuel premier ministre.
Selon les conservateurs, cette popularité ne repose sur aucun fait, puisque Michael Ignatieff «ne prend position sur rien». «Nos recherches, notamment nos groupes de discussion, montrent que les gens connaissent mal Michael Ignatieff. Ils ont une bonne impression, mais ne savent pas pourquoi. Il y a donc encore de la place pour influencer leur opinion», a dit une source conservatrice à l'hebdomadaire Hill Times, distribué sur la colline parlementaire, à Ottawa.
Le porte-parole du Parti conservateur, Ryan Sparrow, a refusé hier de commenter ce qu'il a qualifié de «rumeurs».
Les libéraux à l'attaque
Mais il n'y a pas que les conservateurs qui veulent passer à l'attaque. Depuis quelques semaines, plusieurs vidéos très dures contre Stephen Harper et le Parti conservateur ont fait leur apparition sur YouTube. Le réseau social Facebook est aussi le terrain de ces échanges vidéo.
Les documents visuels, généralement de bonne qualité, sont accompagnés de phrases assassines contre les troupes de Harper. Parfois, il s'agit de slogans entendus de la bouche de certains députés libéraux, notamment celle devenue célèbre: «Tories time are tough times.»
La plupart des vidéos sont mises en ligne par le surnom GritGirl. Selon le Parti conservateur, il est impossible qu'un simple citoyen soit en mesure de mettre sur YouTube autant de vidéos de cette qualité aussi rapidement. Parfois, le document est en ligne quelques heures seulement après un événement.
Par exemple, lorsque Stephen Harper a raté la photo officielle du G20, à Londres, un vidéo le ridiculisant était en ligne deux heures plus tard. C'est d'ailleurs un membre de l'équipe de communication du Parti libéral qui a signalé la présence de ce document aux journalistes de la colline parlementaire.
Un porte-parole libéral a soutenu que «personne au bureau du chef de l'opposition ne sait qui est GritGirl. Personne ne l'a jamais rencontré», a dit Michael O'Shaughnessy
Seismic - yes, in that people don't immediately grimace at the mention of his name as they did with that of his predecessor.There is an interest in the new guy but it seems that the arrogant prick who ran last time will be doing so again - much to the delight of some :-)
4 comments:
I thought this article might appeal - especially the last bit about your favourite Liberal video queen - and since it is 'locked' on the 'Le Devoir' site, I am posting it in its entirety:
Des publicités négatives seraient mises en ondes cet été
C'est le calme plat à Ottawa sur le front des attaques partisanes. Les mauvaises performances économiques du Canada forcent les partis politiques à plus de retenue. Mais des publicités négatives pourraient venir modifier le climat politique.
Ottawa -- Le feu couve. Les conservateurs songent à lancer des publicités négatives contre Michael Ignatieff dès cet été, afin de préparer le terrain à une possible campagne électorale à l'automne. De l'autre côté, les libéraux semblent utiliser depuis quelques semaines les sites YouTube et Facebook pour diffuser des vidéos qui attaquent les conservateurs.
La remontée rapide du Parti libéral du Canada dans les sondages ouvre la porte à plusieurs scénarios. La plupart des observateurs politiques s'attendent à ce que le pays soit de nouveau en élections d'ici un an. Du côté conservateur, on se prépare. Depuis des mois, on scrute le passé de Michael Ignatieff à la recherche de phrases ou de prises de position embarrassantes.
Les 30 ans de Michael Ignatieff passé à l'extérieur du Canada semblent la cible de choix du PC, qui veut le dépeindre comme un homme déconnecté de la réalité canadienne. Sa manière de dire «nous» en parlant des Américains, alors qu'il enseignait à l'Université Harvard, à Boston, serait aussi utilisée, dit-on.
Ces publicités négatives pourraient commencer à être diffusées à la télévision et à la radio au mois de juin, tout juste avant la fin de la session parlementaire et le début des vacances. Les stratèges conservateurs tablent en effet sur une campagne électorale à l'automne, peu importe quel parti en serait le déclencheur.
L'image d'Ignatieff serait trop lisse actuellement, dit-on, de sorte que Harper doit se battre contre «un chef idéalisé». «Il faut ramener Ignatieff sur terre», dit un conservateur qui a demandé l'anonymat.
Selon le dernier sondage pancanadien Léger Marketing-Le Devoir publié le 30 mars dernier, Michael Ignatieff est perçu comme le meilleur premier ministre par 31 % des 1508 répondants, contre 28 % pour Stephen Harper. De plus, Ignatieff se classe premier dans toutes les catégories économiques, loin devant l'actuel premier ministre.
Selon les conservateurs, cette popularité ne repose sur aucun fait, puisque Michael Ignatieff «ne prend position sur rien». «Nos recherches, notamment nos groupes de discussion, montrent que les gens connaissent mal Michael Ignatieff. Ils ont une bonne impression, mais ne savent pas pourquoi. Il y a donc encore de la place pour influencer leur opinion», a dit une source conservatrice à l'hebdomadaire Hill Times, distribué sur la colline parlementaire, à Ottawa.
Le porte-parole du Parti conservateur, Ryan Sparrow, a refusé hier de commenter ce qu'il a qualifié de «rumeurs».
Les libéraux à l'attaque
Mais il n'y a pas que les conservateurs qui veulent passer à l'attaque. Depuis quelques semaines, plusieurs vidéos très dures contre Stephen Harper et le Parti conservateur ont fait leur apparition sur YouTube. Le réseau social Facebook est aussi le terrain de ces échanges vidéo.
Les documents visuels, généralement de bonne qualité, sont accompagnés de phrases assassines contre les troupes de Harper. Parfois, il s'agit de slogans entendus de la bouche de certains députés libéraux, notamment celle devenue célèbre: «Tories time are tough times.»
La plupart des vidéos sont mises en ligne par le surnom GritGirl. Selon le Parti conservateur, il est impossible qu'un simple citoyen soit en mesure de mettre sur YouTube autant de vidéos de cette qualité aussi rapidement. Parfois, le document est en ligne quelques heures seulement après un événement.
Par exemple, lorsque Stephen Harper a raté la photo officielle du G20, à Londres, un vidéo le ridiculisant était en ligne deux heures plus tard. C'est d'ailleurs un membre de l'équipe de communication du Parti libéral qui a signalé la présence de ce document aux journalistes de la colline parlementaire.
Un porte-parole libéral a soutenu que «personne au bureau du chef de l'opposition ne sait qui est GritGirl. Personne ne l'a jamais rencontré», a dit Michael O'Shaughnessy
lept
Is there any "buzz" with Ignatieff in your area? I don't mean seismic change, but an openness?
Seismic - yes, in that people don't immediately grimace at the mention of his name as they did with that of his predecessor.There is an interest in the new guy but it seems that the arrogant prick who ran last time will be doing so again - much to the delight of some :-)
I confess to knowing nothing about him, but I'll take your word ;)
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